« Je dois énormément à mes parents. Ils ont fait ce que je suis. »
Les parents de l’auteur ne sont plus là pour entendre cette phrase. Elle donne le ton de ce premier livre dont l’émotion est contenue mais frémissante.
Le père de Bruce a été emporté par un cancer qui ne lui a laissé aucune chance. Il s’est éteint comme il a vécu, avec discrétion.
Quelques années après, c’est sa mère tant aimée, à la personnalité fantasque et drôle, qui meurt dans la rue d’un arrêt cardiaque.
Comment vit-on avec ses morts ? Que faire pour ceux qui restent ? Doit-on se protéger de l’irradiation du deuil et comment y arriver ?
Ce livre tout entier est une déclaration d’amour filial, ce qui n’est pas si courant à l’heure où les familles sont souvent critiquées.
Pudique, Bruce Toussaint se souvient d’une enfance française de la moyenne bourgeoisie, que tant d’autres ont vécues, dont on peut aujourd’hui avoir la nostalgie. C’est la douleur de tous, comme l’amour de tous, que l’auteur évoque quand il parle des siens.
Les parents de l’auteur ne sont plus là pour entendre cette phrase. Elle donne le ton de ce premier livre dont l’émotion est contenue mais frémissante.
Le père de Bruce a été emporté par un cancer qui ne lui a laissé aucune chance. Il s’est éteint comme il a vécu, avec discrétion.
Quelques années après, c’est sa mère tant aimée, à la personnalité fantasque et drôle, qui meurt dans la rue d’un arrêt cardiaque.
Comment vit-on avec ses morts ? Que faire pour ceux qui restent ? Doit-on se protéger de l’irradiation du deuil et comment y arriver ?
Ce livre tout entier est une déclaration d’amour filial, ce qui n’est pas si courant à l’heure où les familles sont souvent critiquées.
Pudique, Bruce Toussaint se souvient d’une enfance française de la moyenne bourgeoisie, que tant d’autres ont vécues, dont on peut aujourd’hui avoir la nostalgie. C’est la douleur de tous, comme l’amour de tous, que l’auteur évoque quand il parle des siens.