« Il existe quatre grands plaisirs liés au football. Y jouer, le regarder, en parler, écrire à son sujet.
J’ai longtemps goûté le premier comme joueur du dimanche, je ne me lasserai jamais du deuxième et du troisième.
Dans les textes qui composent ce volume, je me suis intéressé aux moments où la Coupe du monde déborde, où un match bascule soudain de l’histoire dans la légende. Il s’en faut parfois d’une main, d’une tête, d’un centimètre devant ou derrière la ligne de but, d’un scandale instantané (l’agression de Battiston par Schumacher) ou à mèche lente (le match de la honte RFA-Autriche en 1982).
Onze rencontres où la Coupe déborde aussi de la chronique sportive vers la rubrique culturelle. Les journalistes les ont commentées, les écrivains s’en saisissent ensuite pour les élever au statut d’objets littéraires. En plus de la trace laissée par ces instants d’éternité dans l’imaginaire collectif, j’ai donc voulu suivre celle qui en demeure chez quantité de romanciers et d’essayistes.
Je marche ici sur mes deux pieds, je m’obstine à mêler dans ces pages deux des grands bonheurs de mon existence : football et littérature.
Il était temps que je connaisse les quatre saisons du plaisir »
J’ai longtemps goûté le premier comme joueur du dimanche, je ne me lasserai jamais du deuxième et du troisième.
Dans les textes qui composent ce volume, je me suis intéressé aux moments où la Coupe du monde déborde, où un match bascule soudain de l’histoire dans la légende. Il s’en faut parfois d’une main, d’une tête, d’un centimètre devant ou derrière la ligne de but, d’un scandale instantané (l’agression de Battiston par Schumacher) ou à mèche lente (le match de la honte RFA-Autriche en 1982).
Onze rencontres où la Coupe déborde aussi de la chronique sportive vers la rubrique culturelle. Les journalistes les ont commentées, les écrivains s’en saisissent ensuite pour les élever au statut d’objets littéraires. En plus de la trace laissée par ces instants d’éternité dans l’imaginaire collectif, j’ai donc voulu suivre celle qui en demeure chez quantité de romanciers et d’essayistes.
Je marche ici sur mes deux pieds, je m’obstine à mêler dans ces pages deux des grands bonheurs de mon existence : football et littérature.
Il était temps que je connaisse les quatre saisons du plaisir »