Peut-on présider une entreprise de 10 000 salariés et 4 milliards d’euros de chiffre d’affaires sans renier ses valeurs ? Oui, selon Matthias Savignac. À ses yeux, il est urgent de réconcilier performance économique et performance sociale.
En tant que patron d’une entreprise mutualiste de l’économie sociale et solidaire, il refuse tous les attributs du pouvoir et a installé son bureau au milieu de l’open space. L’entreprise qu’il préside ne délocalise aucune activité, n’a aucun actionnaire, et pourtant elle a remporté le plus gros contrat collectif en santé d’Europe.
Tandis que les responsables politiques sont de plus en plus contestés, les dirigeants d’entreprises ont un vrai rôle à jouer dans la société en s’engageant dans les grands débats comme la laïcité, la place des femmes ou la solidarité entre générations. Le travail est l’un des derniers espaces de l’altérité, il se doit d’avoir un sens — et c’est au patron de l’impulser.
Du siège national au terrain, de l’ONU à l’Élysée, ce livre nous embarque dans le quotidien jamais stéréotypé du président du groupe MGEN. Il y promeut la démocratie interne à l’entreprise, interroge la solitude du pouvoir, la médiatisation des patrons, mais défend surtout un modèle de leadership sincère, empathique et humain.
En tant que patron d’une entreprise mutualiste de l’économie sociale et solidaire, il refuse tous les attributs du pouvoir et a installé son bureau au milieu de l’open space. L’entreprise qu’il préside ne délocalise aucune activité, n’a aucun actionnaire, et pourtant elle a remporté le plus gros contrat collectif en santé d’Europe.
Tandis que les responsables politiques sont de plus en plus contestés, les dirigeants d’entreprises ont un vrai rôle à jouer dans la société en s’engageant dans les grands débats comme la laïcité, la place des femmes ou la solidarité entre générations. Le travail est l’un des derniers espaces de l’altérité, il se doit d’avoir un sens — et c’est au patron de l’impulser.
Du siège national au terrain, de l’ONU à l’Élysée, ce livre nous embarque dans le quotidien jamais stéréotypé du président du groupe MGEN. Il y promeut la démocratie interne à l’entreprise, interroge la solitude du pouvoir, la médiatisation des patrons, mais défend surtout un modèle de leadership sincère, empathique et humain.