Le seul mort français de la guerre en Libye : Pierre Marziali. Le 11 mai 2011, lors d’un banal contrôle d’identité, ce patron d’une société militaire privée, Secopex, est abattu à Benghazi par un milicien anti-Kadhafi au visage cagoulé. A-t-il été victime d’une bavure ? Selon Robert Dulas, associé et meilleur ami de la victime, Pierre Marziali a été froidement exécuté.
Mais pourquoi et par qui ?
Au nom de la raison d’État ?
Dans Mort pour la Françafrique, Bob Dulas avoue pour la première fois que Secopex servait de paravent à un vaste réseau d’espionnage des groupes islamistes radicaux. Alors Pierre Marziali et lui, escortés par les Touaregs au nord du Mali, accueillis en VIP à Tripoli, snobés par les services spéciaux français mais reçus à l’Élysée, seraient-ils allés trop loin ?
Complété par une contre-enquête rigoureuse à base de documents exclusifs et de témoignages inédits, le récit de Robert Dulas est digne d’un thriller de John Le Carré : sauf qu’ici, tout est vrai !
Mais pourquoi et par qui ?
Au nom de la raison d’État ?
Dans Mort pour la Françafrique, Bob Dulas avoue pour la première fois que Secopex servait de paravent à un vaste réseau d’espionnage des groupes islamistes radicaux. Alors Pierre Marziali et lui, escortés par les Touaregs au nord du Mali, accueillis en VIP à Tripoli, snobés par les services spéciaux français mais reçus à l’Élysée, seraient-ils allés trop loin ?
Complété par une contre-enquête rigoureuse à base de documents exclusifs et de témoignages inédits, le récit de Robert Dulas est digne d’un thriller de John Le Carré : sauf qu’ici, tout est vrai !