Un siècle après son apparition dans le Tour de France – le 19 juillet 1919, sur les épaules d’Eugène Christophe –, le Maillot jaune est tissé de mille légendes qui ont marqué le destin de grands champions comme de gloires d’un jour. Dans ce récit très personnel, Éric Fottorino raconte « ses » Maillots jaunes, laissant libre cours aux souvenirs et aux émotions qui l’ont accompagné depuis les années 1970 : la
domination de Merckx, le martyre d’Ocana perdant son Maillot jaune sous l’orage du col de Menté, l’avènement de Thévenet puis du « blaireau » Hinault, son compagnonnage à distance avec Fignon, presque jumeau de l’auteur.
Avec des scènes héroïques, des triomphes et des drames, ce récit traverse une certaine histoire de la France : la France insouciante de juillet qui rêve au son des roues libres et de la caravane publicitaire, des exploits d’Anquetil et de la malchance de Poulidor.
domination de Merckx, le martyre d’Ocana perdant son Maillot jaune sous l’orage du col de Menté, l’avènement de Thévenet puis du « blaireau » Hinault, son compagnonnage à distance avec Fignon, presque jumeau de l’auteur.
Avec des scènes héroïques, des triomphes et des drames, ce récit traverse une certaine histoire de la France : la France insouciante de juillet qui rêve au son des roues libres et de la caravane publicitaire, des exploits d’Anquetil et de la malchance de Poulidor.