1760 : la Compagnie de Jésus, objet de calomnies et de mesures de répression, craint d’être chassée de Chine où elle est présente depuis plus d’un siècle.
À moins qu’elle ne réussisse à aider le puissant empereur de la dynastie Manchou à satisfaire la passion de sa première épouse pour le théâtre : il ne s’agit pas moins que de monter, au cœur de la Cité interdite, un célèbre opéra de Carlo Goldoni mis en musique par le maestro Niccolo Puccini. Quelle meilleure arme que le théâtre pour la conquête de l’Empire céleste ?
Derrière les murs impénétrables de la cour de Pékin, intrigues et luttes de pouvoir, sensualité et jalousie se déchaînent. Goldoni (dont on fête en 2007 le tricentenaire de la naissance), Voltaire ou Casanova, mais aussi cardinaux, jésuites, concubines, ténors, castrats et eunuques se croisent dans la fascinante atmosphère du siècle des Lumières. Entre Rome, Pékin et Paris, une évocation romanesque d’un siècle doré, libertin et rationaliste à la fois.
À moins qu’elle ne réussisse à aider le puissant empereur de la dynastie Manchou à satisfaire la passion de sa première épouse pour le théâtre : il ne s’agit pas moins que de monter, au cœur de la Cité interdite, un célèbre opéra de Carlo Goldoni mis en musique par le maestro Niccolo Puccini. Quelle meilleure arme que le théâtre pour la conquête de l’Empire céleste ?
Derrière les murs impénétrables de la cour de Pékin, intrigues et luttes de pouvoir, sensualité et jalousie se déchaînent. Goldoni (dont on fête en 2007 le tricentenaire de la naissance), Voltaire ou Casanova, mais aussi cardinaux, jésuites, concubines, ténors, castrats et eunuques se croisent dans la fascinante atmosphère du siècle des Lumières. Entre Rome, Pékin et Paris, une évocation romanesque d’un siècle doré, libertin et rationaliste à la fois.