Mardi 20 octobre 2015. À l’Olympia, la foule se presse pour aller écouter Patti Smith. Nicolas emprunte une coursive, fait rouler son fauteuil jusqu’à l’ascenseur et s’installe au milieu des gradins, au-dessus de la table de mixage – « absurdement placé, comme toujours ». C’est la première fois qu’il se rend seul à un concert. Dans la fosse, invisible, se trouve celle qu’il a aimée et qui est partie.
Soudain, Patti Smith entre en scène. Elle a soixante-huit ans, la puissance des sorcières, le regard sauvage. Gloria ! Sa voix est un ciel dans lequel Nicolas s’élance les yeux fermés. Il y retrouve l’enfance, les peines et les joies, les chers disparus, les histoires d’amour, les rêves d’un corps empêché. Il y retrouve tous les poètes, les chanteurs et les écrivains qui lui ont donné une place dans le monde. Il s’y retrouve lui.
Autobiographie musicale, poétique et anticonformiste, L’Albatros est un hymne à la liberté insufflée par une Pythie des temps modernes.
Soudain, Patti Smith entre en scène. Elle a soixante-huit ans, la puissance des sorcières, le regard sauvage. Gloria ! Sa voix est un ciel dans lequel Nicolas s’élance les yeux fermés. Il y retrouve l’enfance, les peines et les joies, les chers disparus, les histoires d’amour, les rêves d’un corps empêché. Il y retrouve tous les poètes, les chanteurs et les écrivains qui lui ont donné une place dans le monde. Il s’y retrouve lui.
Autobiographie musicale, poétique et anticonformiste, L’Albatros est un hymne à la liberté insufflée par une Pythie des temps modernes.