«Son visage en couverture d’un de ces magazines, et la photo barrée d’un titre en lettres blanches : j’ai torturé. »
Le 27 août 1984, Andrés Antonio Valenzuela Morales, agent du renseignement des Forces Armées Chiliennes livre à une journaliste des aveux glaçants sur l’enlèvement, la torture et l’assassinat de milliers de personnes disparues. Son témoignage marque profondément Nona Fernández, alors âgée de treize ans. Des années plus tard, au moment où le Chili prône la réconciliation nationale et le droit à l’oubli, elle décide d’écrire son histoire.
La Quatrième Dimension est une oeuvre littéraire puissante, construite comme une enquête haletante. Une oeuvre nécessaire qui résonne très loin, dépassant largement les frontières chiliennes.
Traduit de l’espagnol (Chili) par Anne Plantagenet.
Le 27 août 1984, Andrés Antonio Valenzuela Morales, agent du renseignement des Forces Armées Chiliennes livre à une journaliste des aveux glaçants sur l’enlèvement, la torture et l’assassinat de milliers de personnes disparues. Son témoignage marque profondément Nona Fernández, alors âgée de treize ans. Des années plus tard, au moment où le Chili prône la réconciliation nationale et le droit à l’oubli, elle décide d’écrire son histoire.
La Quatrième Dimension est une oeuvre littéraire puissante, construite comme une enquête haletante. Une oeuvre nécessaire qui résonne très loin, dépassant largement les frontières chiliennes.
Traduit de l’espagnol (Chili) par Anne Plantagenet.