« Enfant, je t’en voulais de ne pas dire, de ne pas faire. Adulte, je comprends enfin que tu ne sais juste pas dire, tu ne sais juste pas faire. »
Le premier roman phénomène de Panayotis Pascot, La prochaine fois que tu mordras la poussière, devient une pièce de théâtre. Le metteur en scène Paul Pascot, frère de l’auteur, adapte ce récit d’autofiction en trente tableaux intimes et émouvants. Comme toujours, l’adaptation s’émancipe de l’œuvre et nous donne à lire une autre histoire : ici le fils s’adresse au père, et s’il lui parle suffisamment fort, peut-être entendrez-vous celui-ci vous répondre ?
Dans ce livre enrichi des dessins poétiques du comédien Vassili Schneider, c’est toute une filiation contrariée qui est donnée à lire. Un nouveau regard sur un texte essentiel.
Le premier roman phénomène de Panayotis Pascot, La prochaine fois que tu mordras la poussière, devient une pièce de théâtre. Le metteur en scène Paul Pascot, frère de l’auteur, adapte ce récit d’autofiction en trente tableaux intimes et émouvants. Comme toujours, l’adaptation s’émancipe de l’œuvre et nous donne à lire une autre histoire : ici le fils s’adresse au père, et s’il lui parle suffisamment fort, peut-être entendrez-vous celui-ci vous répondre ?
Dans ce livre enrichi des dessins poétiques du comédien Vassili Schneider, c’est toute une filiation contrariée qui est donnée à lire. Un nouveau regard sur un texte essentiel.