Dans cet essai très agréable à lire, l’auteur étudie les rapports entre certains poètes français du xixe siècle et du début du xxe et le vin ou l’alcool, soit qu’ils en consomment (ce qui est pratiquement toujours le cas) avec plus ou moins de retenue, soit qu’ils s’en inspirent dans certains de leurs textes – que le breuvage soit réel ou métaphorique –, soit même qu’ils en produisent, comme les poètes vignerons Lamartine et Vigny.
Au fil de pages fourmillant d’anecdotes, on découvre des portraits d’auteurs majeurs ou moins connus, le verre à la main : les romantiques (Musset, Gautier, Hugo, Lamartine, Vigny…), les poètes maudits (Nerval, Baudelaire, Villiers de l’Isle-Adam, Mallarmé, Corbière, Lautréamont, Rimbaud…), des personnalités atypiques comme Gaston Couté, Jules Laforgue ou Francis Jammes, et pour finir ceux des « nouveaux temps » issus de la Première Guerre mondiale : Apollinaire ou Cendrars.
Le livre est aussi l’occasion de brosser un tableau de Paris, capitale culturelle, littéraire et poétique, à travers ses estaminets et ses cabarets, comme le célèbre Chat noir.
Au fil de pages fourmillant d’anecdotes, on découvre des portraits d’auteurs majeurs ou moins connus, le verre à la main : les romantiques (Musset, Gautier, Hugo, Lamartine, Vigny…), les poètes maudits (Nerval, Baudelaire, Villiers de l’Isle-Adam, Mallarmé, Corbière, Lautréamont, Rimbaud…), des personnalités atypiques comme Gaston Couté, Jules Laforgue ou Francis Jammes, et pour finir ceux des « nouveaux temps » issus de la Première Guerre mondiale : Apollinaire ou Cendrars.
Le livre est aussi l’occasion de brosser un tableau de Paris, capitale culturelle, littéraire et poétique, à travers ses estaminets et ses cabarets, comme le célèbre Chat noir.