Rien. Pas une thalasso ou encore moins un casino ne poussera sur les terres des Buzzati. Dante Buzzati ne se laissera pas flouer. Cette propriété familiale de Neuilly-sur-Seine, c’est à la sueur de son front et à son génie canin que son père Ettore l’a conquise.
Hélas, dans les redoutables plans de Dante, il y a une faille : les femmes. Alors quand apparaît Anne-Laure Chinon, beauté froide et enjôleuse, souvenir troublé de l’enfance, dans la maison d’à côté, son ardeur à défendre l’héritage familial s’en trouve quelque peu ébranlée.
Entre le fils de l’ouvrier monobras et sa « mitoyenne » smart vont se nouer des relations ambiguës, à la fois cordiales, intimes et professionnelles. Alors que Dante, graphiste de son état, avait abandonné l’idée même de poursuivre la quête paternelle de la psychologie canine, il va, sous le regard excédé de sa fille adorée, se lancer dans une aventure orchestrée par la flamboyante voisine. Un atelier prisé par le tout-Neuilly et exclusivement dédié au meilleur ami de l’homme, un centre délirant d’expérimentations holistico-mystiques où maîtres et chiens ne font qu’un.
Une « assoce » à but non-lucratif. Jusqu’au scandale financier.
Roman drôle, noir et grinçant, miroir canin d’un monde contemporain cruel, intriguant, cynique et impitoyable, où l’on s’enthousiasme de sa propre vacuité, conjuguant sur tous les registres, langagiers et symboliques, nos liens aux animaux et nos représentations de l’animalité. Une langue fracturée, crue, épique et surtout tragiquement drôle qui satisfera les fervents lecteurs de Luc Lang. Le chien, prétexte à cette épopée burlesque, rassemblera le plus grand nombre : ceux qui l’exècrent trouveront de quoi alimenter de manière sadique ce dégoût, les aficionados y liront une fable canine extravagante et parfois touchante.
Hélas, dans les redoutables plans de Dante, il y a une faille : les femmes. Alors quand apparaît Anne-Laure Chinon, beauté froide et enjôleuse, souvenir troublé de l’enfance, dans la maison d’à côté, son ardeur à défendre l’héritage familial s’en trouve quelque peu ébranlée.
Entre le fils de l’ouvrier monobras et sa « mitoyenne » smart vont se nouer des relations ambiguës, à la fois cordiales, intimes et professionnelles. Alors que Dante, graphiste de son état, avait abandonné l’idée même de poursuivre la quête paternelle de la psychologie canine, il va, sous le regard excédé de sa fille adorée, se lancer dans une aventure orchestrée par la flamboyante voisine. Un atelier prisé par le tout-Neuilly et exclusivement dédié au meilleur ami de l’homme, un centre délirant d’expérimentations holistico-mystiques où maîtres et chiens ne font qu’un.
Une « assoce » à but non-lucratif. Jusqu’au scandale financier.
Roman drôle, noir et grinçant, miroir canin d’un monde contemporain cruel, intriguant, cynique et impitoyable, où l’on s’enthousiasme de sa propre vacuité, conjuguant sur tous les registres, langagiers et symboliques, nos liens aux animaux et nos représentations de l’animalité. Une langue fracturée, crue, épique et surtout tragiquement drôle qui satisfera les fervents lecteurs de Luc Lang. Le chien, prétexte à cette épopée burlesque, rassemblera le plus grand nombre : ceux qui l’exècrent trouveront de quoi alimenter de manière sadique ce dégoût, les aficionados y liront une fable canine extravagante et parfois touchante.