De sa passion d’enfant pour le football, François Rebsamen a gardé le goût du collectif et de l’action, autant qu’il en a éprouvé la difficulté, à travers la ville – il est maire de Dijon –, le gouvernement – il a été à la tête d’un des ministères les plus intenables ! – et dans l’ensemble de son parcours de militant, d’élu local et de parlementaire.
Pour la première fois, cet homme secret, l’un des piliers de la vie politique française, ce compagnon du socialisme, depuis François Mitterrand jusqu’à François Hollande, ce fin stratège des arcanes du pouvoir et des batailles électorales, écrit son « Ce que je crois », personnel, parfois émouvant, qui lie l’histoire du passé de la gauche à ce que devrait être son avenir.
Dans un récit intime, même si le mot lui répugne, il dit ce qu’il a traversé, vu, vécu, il livre son bilan critique de ce qui a été fait et de ce qui n’a pas été fait, et exprime ses idées pour que la France retrouve le cap et se libère de ses entraves.
Pour la première fois, cet homme secret, l’un des piliers de la vie politique française, ce compagnon du socialisme, depuis François Mitterrand jusqu’à François Hollande, ce fin stratège des arcanes du pouvoir et des batailles électorales, écrit son « Ce que je crois », personnel, parfois émouvant, qui lie l’histoire du passé de la gauche à ce que devrait être son avenir.
Dans un récit intime, même si le mot lui répugne, il dit ce qu’il a traversé, vu, vécu, il livre son bilan critique de ce qui a été fait et de ce qui n’a pas été fait, et exprime ses idées pour que la France retrouve le cap et se libère de ses entraves.