Sébastien et Éléonore, frère et sœur, complices inséparables, la quarantaine proche, se retrouvent à Paris. Également beaux et blonds comme il se doit, les voici nonchalamment installés dans un meublé de hasard, parfaitement désargentés et parfaitement disponibles.
Presque aussitôt, se pressent autour d’eux Nora, une Américaine aussi riche que mûre, Bruno, jeune premier du cinéma français, Robert, un célèbre imprésario…
Pour une fois la petite musique prend des tonalités cinglantes, froides et personnelles. Sagan prend parti pour l’un ou l’autre de ses personnages et nous livre ses points de vue sur leur vie et la sienne. Elle nous offre ses sentiments sur les critiques de ses livres, sur ce qu’elle pense elle-même de sa « petite musique », elle nous parle de sa vie et se met en scène comme rarement. Elle utilise le « je » pour justifier ses choix et lui redonne, dans une pirouette finale, son statut romanesque.
Une très grande œuvre.
Presque aussitôt, se pressent autour d’eux Nora, une Américaine aussi riche que mûre, Bruno, jeune premier du cinéma français, Robert, un célèbre imprésario…
Pour une fois la petite musique prend des tonalités cinglantes, froides et personnelles. Sagan prend parti pour l’un ou l’autre de ses personnages et nous livre ses points de vue sur leur vie et la sienne. Elle nous offre ses sentiments sur les critiques de ses livres, sur ce qu’elle pense elle-même de sa « petite musique », elle nous parle de sa vie et se met en scène comme rarement. Elle utilise le « je » pour justifier ses choix et lui redonne, dans une pirouette finale, son statut romanesque.
Une très grande œuvre.