En août 1936, au début de la Guerre d’Espagne, la philosophe Simone Weil, qui n’a pas trente ans, part rallier le front d’Aragon et les brigades internationales de la colonne Durutti. Lors d’une offensive sur les bords de l’Ebre, elle se blesse en plongeant le pied dans une bassine d’huile brûlante.
Simone Weil passe quarante-cinq jours en Espagne. De ce séjour, nous ne savons rien ou presque. Un passeport, des notes éparses d’un « Journal d’Espagne » dont il subsiste trente-quatre feuillets, des lettres et des photographies en uniforme.
Agir, penser, écrire, serait une seule et même chose.
Du mystère d’une vie brève, d'un engagement impossible, Adrien Bosc a tiré un roman à la ligne claire. Au milieu du chaos d’une guerre civile, il nous conte une existence intense et tragique, dont le combat en Espagne fut le point de bascule.
Simone Weil passe quarante-cinq jours en Espagne. De ce séjour, nous ne savons rien ou presque. Un passeport, des notes éparses d’un « Journal d’Espagne » dont il subsiste trente-quatre feuillets, des lettres et des photographies en uniforme.
Agir, penser, écrire, serait une seule et même chose.
Du mystère d’une vie brève, d'un engagement impossible, Adrien Bosc a tiré un roman à la ligne claire. Au milieu du chaos d’une guerre civile, il nous conte une existence intense et tragique, dont le combat en Espagne fut le point de bascule.