Il est question de harcèlement, de travail précaire ou dissimulé, de salariés assimilés à des « variables d’ajustement », de l’inventivité des patrons pour ne pas payer et celle de certains salariés pour ne pas bosser.
On croise des travailleurs immigrés sous-payés, des femmes de ménage maltraitées, un jeune couple poursuivi par leur nounou, des cadres licenciés « sans cause réelle et sérieuse », des ouvriers polonais…
Ces histoires, on ne les avait jamais lues.