« Comment a-t-on pu atteindre un tel niveau de déliquescence, cinquante ans après, du “soleil” de 68 au crépuscule du PS ? » se demande Benjamin Stora. De cette question est né ce livre, écrit en témoin et historien. Stora appartient en effet à ce courant de l’après-68 qui, après s’être engagé dans l’extrême gauche trotskiste, est entré au Parti socialiste.
Il revient sur cette histoire à travers la sienne : l’engagement révolutionnaire vécu comme une libération en arrivant d’Algérie, puis l’entrée au PS, en 1986, avec l’illusion d’y poursuivre les mêmes batailles politiques. Un drame familial l’éloignera
finalement du militantisme. Benjamin Stora porte un regard lucide sur ce qu’il n’a pas toujours vu en temps et en heure : les erreurs ou les dérives de certains. Cet examen de parcours est ponctué de rencontres, avec Jospin, Cambadélis ou
Mélenchon.
Au-delà des souvenirs et des anecdotes surprenantes, ce livre offre une analyse éclairante sur la façon dont le Parti socialiste a d’abord « absorbé » les aspirations de 68 à changer la vie, avant de les étouffer. Pour finir lui-même à bout de souffle.
Il revient sur cette histoire à travers la sienne : l’engagement révolutionnaire vécu comme une libération en arrivant d’Algérie, puis l’entrée au PS, en 1986, avec l’illusion d’y poursuivre les mêmes batailles politiques. Un drame familial l’éloignera
finalement du militantisme. Benjamin Stora porte un regard lucide sur ce qu’il n’a pas toujours vu en temps et en heure : les erreurs ou les dérives de certains. Cet examen de parcours est ponctué de rencontres, avec Jospin, Cambadélis ou
Mélenchon.
Au-delà des souvenirs et des anecdotes surprenantes, ce livre offre une analyse éclairante sur la façon dont le Parti socialiste a d’abord « absorbé » les aspirations de 68 à changer la vie, avant de les étouffer. Pour finir lui-même à bout de souffle.